Zakkarit Shadowsong [validé]

Nom : Zakkarit Shadowsong

Age : 17 ans

Sexe : masculin

Camp : neutre

Rang : 1


Description physique :
Mesurant environ 1m75, Zakkarit porte des cheveux chatain assez courts, lui arrivant au bas de la nuque. Ses vêtements taillé sur mesures sont fait pour ne pas gener ses mouvements, et leur couleur sombre est faite pour l'aider a mieux se dissimiler. Il a les yeux gris, et un aspect assez frêle, mais ne manque pas de ressources, et son agilité compense certaines autres de ses capacités moins performante.

Description Psychologique :
Zakkarit est un original. Son équilibre psychologique et sa logique ne sont propre qu'a lui. Curieux paradoxe, mélange détonant, il peut se montrer acerbe et fanfarron, autant qu'attentionné et extremement galant.
Le plus souvent, il se comporte en gentleman auprés des dames, et ne manque pas une occasion de tenter de les charmer. En revanche, il a la facheuse tendance a lancer des "piques" a ses concurrent, ce qui lui vaut souvent de s'attirer des ennuis dont il s'échappe soit par le combat, soit (et le plus souvent) par la fuite d'une ville a l'autre. Cette existence nomade a fait de lui un solitaire, mais qui ne rechigne pas a la compagnie des dames et des compagnons peu susceptibles.

Histoire :
Zakkarit était née d’une famille de classe moyenne. Sa mère fabriquait des arms courants, de faible puissance, et les vendaient. Son père, quand a lui, était garde du bourgmestre de la ville d’Akal Papot, où ils habitaient. Aussi passait-il ses journées à traîner dans les rues de la ville, ou au chevet de sa jeune sœur Tamao, dont il était de 3 ans l’aîné. Sa sœur avait de naissance une santé fragile, et tombait souvent malade. (https://2img.net/r/ihimizer/img403/3872/tamaotamamurabychiquitaui7.jpg) Les soins qui lui étaient prodigués ne la guérissaient jamais complètement, et la maladie la reprenait quelques jours a la fin de chaque traitement. Le travail de leur père permettait de payer les services de guérisseurs compétents, et de mener une vie confortable.

Mais un jour, alors que Zakkarit avait 12 ans, le supérieur de son père vint chez eux. Son père s’était fait tuer lors d’une attaque. L’homme lui remis un sac rondelet, remplit de pyutas, prime octroyée par le bourgmestre pour les familles des soldats morts aux devoirs, ainsi que les arms du défunt.
Malgré l’abattement de la famille, la vie continuât pour eux pendant quelques temps. Mais rapidement, la prime fondit et le travail de la mère ne suffit plus pour payer les soins de sa cadette.
Elle décida alors, n’ayant plus d’autres choix, d’épouser un autre homme de la ville. Un petit marchand, chauve et gras, malhonnête et violent dont elle repoussait les avances depuis longtemps.
Avec mauvaise grâce, il paya les soins de la cadette, mais dés qu’il était hors de portée de vue, où d’ouïe, il battait le garçon. Celui ci, pour le bien être de sa sœur se contenta de serrer les poings, jour après jours, sans jamais rien tenter contre lui directement.

Il décida de gagner sa vie par lui-même. Il continuait d’arpenter la ville, mais se mit à dérober des objets de moindre valeur, dont la difficulté d’acquisition frôlait l’absence de difficulté. Puis, ses talents s’aiguisant, il commença à faire de plus gros coups. Il entrait par effraction dans les habitations de nuit, grâce à l’aide de ses arms et de sont agilité, et déroba d’autres arms, plus facile à transporter, à cacher et à revendre.
Les années s’écoulèrent ainsi, se ressemblant. Mais, alors qu’il avait 17 ans, lors d’un casse particulièrement fructueux, il tomba dans un piège. Lorsqu’il alla poser son butin dans son dépôt, pas moins de cinq hommes sortirent de l’ombre derrière lui et essayèrent de l’attraper. Il prit la fuite, courant à perdre haleine dans les rues de la ville, mais atterrit dans un cul de sac.
*Ca y est, je suis foutu !*
Il cacha les deux seuls arms en sa possession, ceux de son père. Il cacha le premier dans sa botte, et le second dans sa bouche, sous sa langue. Puis il se retourna, pour faire fasse aux hommes qui bloquaient maintenant la rue. Il ne bougea pas alors qu’ils s’approchaient et lui lièrent les mains devant lui avec une corde. Un des gardes, pour faire bonne figure, lui donna un coup de poing dans le ventre.
*Je dois faire attention, j’ai failli l’avaler…
Un des hommes, visiblement le meneur de la bande poussa Zakkarit commença à le faire avancer dans les ruelles sombres de la ville. Les gardes, entre eux, parlaient.
-Si seulement on pouvait toujours être autant payé pour des missions aussi simple ! C’est son père qui va être content ! N’empêche, je me demande pourquoi il nous a demandé de le capturer…
Zakkarit esquissa un sourire glacial, que le garde a sa droite remarqua.
*J’aurai dut me douter que c’était lui qui avait lancé ses chiens a mes trousses…*
-Qu’est-ce qui te fait sourire toi ?
Zakkarit plaça l’anneau dans sa bouche entre ses dents et prononça son nom pour le déclancher
*Une chance sur deux que ça sorte dans le bon sens !*
Et la dague apparut dans le bon sens. Une lame d’une 30 aine de centimètre sortit de sa bouche. Il coupa ses liens en un instant, puis donna un coup de genou dans le ventre du garde le plus proche. Il profita de la stupeur du groupe pour s’élancer dans une autre ruelle. Il courut à nouveau dans les rues, et désinvoqua son arm. Il se faufila, de ruelle en ruelle, afin d’en atteindre une qu’il connaissait bien De la, son accès aux toits de la ville était assuré.
Il sauta, de bâtisse en bâtisse, se rapprochant de sa maison par la voie la plus rapide. Il se posta au-dessus de la fenêtre du bureau de son beau-père, et observa la rue. Il entendait les gardes, qui se rapprochaient.
-Je n’ai plus beaucoup de temps… ça ne sera pas long.
Il attrapa fermement la gouttière et se laissa tomber en avant. Il se fit basculer à travers la fenêtre, brisant la vitre et atterrissant devant son beau-père qui hurlait de frayeur. Il invoqua sa dague, et sauta sur lui. Il fit basculer sa chaise en arrière avant de lui plaquer son arme sous la gorge, ce qui fit cesser les hurlements. Il parla à voix basse, la haine dans les yeux et la mort dans la voix.
-Pas la peine de m’envoyer tes nounous. Si tu veux que je me casse, dis-le-moi en face. Je me casse d’ailleurs. Mais je te préviens : si tu touche à ma sœur ou à ma mère, si tu médis de moi ou si tu cesse de payer le traitement…
Tout en parlant, il lui désigna les points dont il lui parlait en le regardant dans les yeux.
-Je t’ouvre le bide de là à là, je t’étrangle avec tes intestins, et je me fais un collier avec tes tripes avant de pulvériser ton cœur sous tes yeux. A condition que j’en trouve un dans ce déchet qui te sert de corps…
Il termina sa phrase en lui flanquant un coup de poing au menton. Il se releva et le toisa avec dégoût. L’homme qui gisait au sol puait l’urine
-J’en conclus que mon avertissement est bien passé…

Il sortit rapidement du bureau, et lorsqu’il passa devant la chambre de sa sœur, celle ci l’appela. Il écouta, si ses poursuivants étaient-la. Il n’avait plus beaucoup de temps.. Il entra silencieusement, et la découvrit, dans son lit, les cheveux ébouriffés et l’air endormi.
-Que se passe t’il ? s’enquit-elle
-Je pars. Je vais voyager un peu.
Aussitôt, une lueur d’intérêt s’alluma dans son regard
-Ou ça ? Quand ? Je veux venir avec toi !
Zakkarit soupira en secouant la tête
-J’aimerai bien… mais ta santé ne le permet pas.
Il entendit les gardes devant la maison. Le temps pressait.
-Je dois y aller.
Il se tourna vers la fenêtre, et s’avança d’un pas pressé. Il entendit derrière lui un pas leste, et sentit quelque chose le pousser, en le serrant au niveau des hanches. Il se tourna légèrement, et vit Tamao, affalé sur le sol, le serrant au niveau des hanches, les yeux fermés. Des larmes silencieuses coulaient sur ses joues. Zakkarit se dégagea doucement de son étreinte, et la raccompagna jusqu'à son lit, où il la borda. Elle continuait de pleurer. En bas, les hommes tentaient de défoncer la porte.
-Je ne veux pas rester ici toute seule…
-Ne t’inquiète pas. Dés que j’aurai une maison et un peu d’argent, je viendrai te chercher. Et le vieux…
Il désigna le bureau du pouce. En bas, les hommes avaient fracturé al porte et commençaient à courir vers l’étage.
-Il te laissera tranquille. J’ai eu une petite discussion avec lui.
Tamao continuait de pleurer, mais elle lui souriait faiblement.
-Je reviendrai bientôt. Plus vite que tu ne t’en doute, je te le promet.
Sur ces mots, il déposa un baiser sur son front, lui ébouriffa les cheveux et courut vers la fenêtre. Lorsque les gardes entrèrent, ils ne purent voir que Tamao, debout devant la fenêtre brisée, pied nue sur le plancher, sa couverture sur les épaules. D’une main, elle faisait un signe d’au revoir à une silhouette qui courait de toit en toit, vers le soleil levant.


Les Statistiques
PV : 50
PM : 10


Elément de prédilection : la foudre


Les Compétences

Discretion : niveau 1

Bienvenu parmi nous sur ce magnifique forum

et encore un Neutre, j'imagine déjà la réaction des membres des organisations qui manque de personnelle

Bienvenue!

Merci a vous de ces messages de bienvenue ^^
J'ai rajouté son profil psychologique (un peu a mon image en fait, mais en plus extreme XD) Je m'occupe de son bg demain (la, il se fait tard)

Ondine a écrit:

et encore un Neutre, j'imagine déjà la réaction des membres des organisations qui manque de personnelle

En fait, je n'ai pas trouvé les differentes organisations (mais j'ai mes raison de rester en solo. Du moins, pour le moment... qui sait ce qu'il va se passer ? ^^)

Bah bienvenue a toi ^^

BIenvenue a toi et j'espère que t ute plairas ici ^^

hellow, bienvenue parmi nous ^^
amuse toi bien =)

Voilaaaa, mon histoire est terminée ^^ (écrite d'une traite, aprés une longue réflection en cours de physique appliqué de 5h)