Le cavalier contre le mort

Azazel, ne voulait pas repartir en mission tout de suite, il voulait en savoir plus sur son nouveau pouvoir, et quoi de mieux qu’un combat pour pousser les limites de sa régénération au maximum et savoir à quoi s’attendre dans une situation périlleuse. Il prit donc le chemin de la grande arène de Hild pour y trouver un adversaire au minimum aussi puissant que lui. Il n’avait jamais eu l’occasion d’y aller et la taille de l’édifice le surprit quelque peu.
Il s’arrêta quelque instant pour se demander qui pourrait être son adversaire et s’il avait une chance de l’emporter, mais quand bien même il savait qu’il n’en mourrait pas et donc une défaite de plus ou de moins ne serait pas si grave.

Il entra dans l’édifice et se mit au centre le l’arène, quel ne fut pas sa surprise quand quelques minutes plus tard il reconnu l’homme qui s’avançait dans sa direction. Kirua l’un des plus puissant cavalier de l’échiquier. Un frisson, puis une sensation de brulure le parcouru, sa dernière rencontre avec un cavalier l’avait laissé pour mort, au milieu de l’ancienne forteresse de son clan en flamme.

« Cavalier Kirua, je crois que je ne n’ai jamais eu le plaisir de faire votre rencontre, je ne peux pas en dire autant d’une de vos camarades, une fille avec un tempérament de feu. La dernière fois que je l’ai vu elle était ensevelie sous des débris en feu. Auriez-vous des nouvelles d’elle? MaisTrêve de bavardage et concentrons nous sur ce pourquoi nous sommes venus. »

Azazel caressa le bec de Shemêhaza, et tout d’un coup une aura noire enveloppa Azazel, formant un cocon autour de lui. Quand celui-ci se dissipa des ailes d’un noir tellement intense que la lumière autour d’elles semblait absorbé, s’étirèrent de chaque côté de son dos. Il en éprouva la force en les remuants lentement puis s’éleva dans les airs, à bonne distance de son adversaire. Dans sa main droite une longue lance commença à prendre forme. Une fois qu’elle fut stabilisée il l’envoya en y mettant beaucoup de force en direction de son adversaire (-70). Il s’avait que ça ne ferait pas grand-chose à son adversaire mais il désirait tester sa puissance afin de mettre en place la stratégie adéquate. Au moment de toucher son adversaire, la lance se dispersa en plusieurs traits qui entourèrent le cavalier, et s’abattirent toutes en même temps sur son adversaire. Il espérait ainsi qu’au moins l’une d’entre elle ferait mouche et égratignerait se monstre de puissance.

« Allons, allons Cavalier, nous savons tous les deux que vous n’avez quasiment rien sentit. »

Vigilant, il se mit en position défensive, il savait que l'attaque de son adversaire serait d'un niveau bien plus important.




PV: 220
PM: 189-75-20-30=69

Citation :

" Bonjour Azazel, Freyja s'est remise de l'attaque contre votre QG, mais elle y a laissé des plumes. Vous avez survécu à sa rencontre et je vous félicite pour ça. Que le combat commence, j'ai hâte de voir de quoi vous êtes capable Azazel"

° Et bien comme ça nous sommes deux alors. °

Azazel nota avec une pointe de regret que le cavalier n’avait subit aucune blessure, son attaque n’était certes pas très puissante mais il ne se doutait pas qu’il s’en sortirait indemne. Mais peu importe, il avait plus d’une corde à son arc de toute façon, et quitte à subir une deuxième défaite entre guillemet contre un cavalier de l’échiquier, il espérait pousser au maximum son adversaire dans ses retranchements. Kirua activa un ärm et une épée d’une allure qui ne lui plaisait pas du tout apparut dans sa main. A la lumière qui semblait émaner de sa lame, il comprit qu’il allait passer un sale quart d’heure.

°Holy Shit, d’après les rapports que j’ai pu lire sur lui, c’est un utilisateur de flamme pas une de ces sœurs sourire d'eden °

Son instinct de survie pris le dessus, il désactiva son ghost ärm et activa dans la foulé Shemêhaza. Il commença à chuter, quand tout d’un coup, l’air ambiant devint sombre, les ombres au sol s’étendirent et seule la lame de Kirua qui fonçait dans sa direction semblait encore émettre un tant soit peu de lumière. Une fraction de seconde avant que la chute ne prenne fin, une explosion de ténèbres s’abattit sur l’arène (-100 de zone imblocable) et une ombre s’interposa entre lui et le coup qui aurait pu lui être fatale. Shemêhaza para l'assaut sans broncher, et cette lame si aveuglante finit par être absorbée par la noirceur du gardien. Azazel épousseta ses vêtement et plutôt content de lui regarda en direction de son adversaire il ne savait pas dans quel état il était mais ne voulait pas trop prendre de risque, car mine de rien même s'il s’en était sortit sans aucune blessure, il dansait sur une corde raide.

« Allons, allons Cavalier, je crois en définitive ne pas être le seul à devoir faire mieux, qu’en pensez vous. ».

Il farfouilla dans l’une de ses poches et y trouva ce qu’il cherchait, une sorte de sphère bleu d’une dizaine de centimètres de diamètre, un sourire naquit sur son visage. Azazel activa la matéria d’eau et la projeta de toutes ses forces en direction du cavalier sûrement encore confus par son attaque, et cette fois-ci c’est une explosion aqueuse qui touchait Kirua.(-100 eau verrouillage) Son gardien se mit en opposition, il ne voulait pas mouiller ses vêtements.

« Saviez vous très cher que la dernière fois que j’ai utilisé un tel artefact, j’en suis mort, mon clan a perdu une partie de sa force de frappe et sa forteresse, mais votre ami Freya a elle aussi subit de grave dommage. Hum… Ca valait le coup, je n'ai jamais vraiment aimé votre organisation, toujours à mettre votre nez n’importe où et à vous occuper de ce qui ne vous regarde pas.»

Il souriait à pleine dent, l’excitation du combat commençait à monter en lui, son gardien à ses côtés prêt à le défendre à n’importe quel moment, il attendait la réaction de son adversaire avec un peu de sérénité.

PV: 210
PM: 179-179=0

Résistance du gardien: 150-115=35

Kirua arriva à diminuer l’attaque de Shemêhaza en fendant les ombres qui s’avançait vers lui en explosant, mais il n’en sortit pas indemne, des petites égratignures de ci de là, rien de grave et encore moins mortel, mais cela faisait renaître l’espoir en Azazel, infime certes mais bel et bien là, il pouvait gagner.

« Cavalier, votre puissance vous honore, peu de gens sont capable de se tirer d’un tel guêpier avec des écorchures si minimes. »

A son grand désarroi par contre sa matéria n’eut presque aucun effet sur lui, mais il en avait d’autres en réserve et il espérait bien qu’elles lui seraient plus utiles à l’avenir. La riposte du cavalier ne se fut pas attendre, et cette fois-ci ce n’est pas une lame de lumière qui fonçait dans sa direction mais bel et bien, une énorme vague. Il ne pourrait pas se cacher derrière son gardien cette fois mais celui-ci ne quitterait pas l’arène sans un coup d’éclat. Quand la lumière le toucha, il explosa en direction de Kirua, les ténèbres rampèrent sur ce qui restait du sol de l’arène, et une main vaporeuse attrapa son épée pour ne plus la lâcher. La surprise se lue alors sur son visage. Et c’est dans une dernière explosion que le démon revint dans le corps de son maître. Le fait qu’il soit battu entraina de sérieuse blessure interne à Azazel (-36), mais dans le bec du corbeau sur son épaule, il discerna un petit pendentif en forme de Z qu’il avala, et Kirua n’eut plus d’épée dans ses mains. Une quinte de toux le ramena à la réalité, la vague de lumière fonçait toujours sur lui. Il caressa alors une nouvelle fois le bec de Shemêhaza, ce dernier se transforma en une flûte d’ombre vaporeuse qui vient se loger entre ses lèvres.

« Cavalier en ce jour si vous tendez l’oreille vous entendrez une mélodie des plus morbides… Complainte des ténèbres. »

Il commença alors à jouer, les notes qui en premier lieu semblait radieuse et pleine de vue, devinrent sinistre chargé de chagrin, la mort elle-même semblait chanter en cœur, et quand la vague de lumière ne fut qu’à quelques centimètres de lui, Azazel disparue, pour réapparaître quelques instant plus tard à l’abri de toute attaque. Azazel aspira alors à travers la flûte, et une partie des ombres entrèrent dans son corps, il savait ce que voulait dire la malédiction mais c’était déjà mieux que d’encaisser une tel coup.

« Encore une fois cavalier je constate que vous devrez encore une fois faire un peu mieux pour m’infliger des dégâts notables, voyez vous-mêmes les blessures commencent déjà à se refermer. A mon tour maintenant. »

Il remit une autre fois la flûte dans sa bouche, mais la partition n’était pas la même, cette fois elle évoquait la guère, le fracas d’une épée contre un bouclier, le cri d’un guerrier blessé, le dernier râle d’un mort. Au fur et à mesure ce qui était une mélodie plaisante à l’oreille du cavalier, devint un son strident, qui lui vrilla les tympans et lui endommagea l’oreille interne (-100 imparable). Puis ne voulant pas perdre la moindre minute, il lança une autre matéria qui explosa quelques mètres au dessus de la tête de Kirua.(-100 eau verrouillage)

« Qu’allez vous faire maintenant que vous n’avez plus votre épée, magnifique j’en conviens et tellement puissante. Un trésor de famille peut être ? »

Avec un peu de chance, Kirua sortirait de ses gonds et laisserait plus de failles ou alors celui-ci n’éprouverait plus aucune pitié, c’était un risque à prendre.

PV:210-36: 174
PM: 180-180=0

[Salut les gens! Kiki m'avait invité à me joindre à vous il y a de cela déjà un certain temps, j'ai eu pas mal de choses à faire, mais me voila!]


De grands éclats de rire retentirent de la table située juste derrière Ralph. L’un des saoulards venait de s’effondrer après avoir failli réussir le défi qui lui avait été imposé. Le jeune homme l’avait observé, curieux de voir si le pauvre allait réussir à ingurgiter les sept pintes de bière dans le temps qui lui était imparti. Malheureusement, ce pauvre travailleur avait déjà l’estomac et les veines saturés d’alcool et son organisme décida en cours de route qu’il avait assez bu pour aujourd’hui.
Retournant au comptoir sur lequel était posé son verre, le séraphin d’Eden soupira. Pas vraiment grand-chose d’autre à faire pour l’heure. Il était sensé partir en mission pour son organisation, mais Uriel l’obligeait à ronger son frein, elle disait vouloir bien organiser l’affaire sur laquelle il allait sous peu travailler. Son excuse était que Ralph était trop menacé par toutes ces sombres organisations qui œuvraient désormais, le discourt d’une mère poule un peu trop protectrice. Alors qu’est ce qu’il avait à faire en attendant ? S’occuper des nouvelles recrues ? Ce n’était pas son job normalement, et s’il avait rapidement tourné au QG en mettant de la bonne volonté dans son rôle important, les éternelles questions ou remarques des nouvelles têtes l’avaient vite gavé. Il avait l’impression que toute la bleusaille se mettait d’accord sur les erreurs, les questions, ou les bourdes qu’ils devaient faire. Que ce soit la recherche du bureau de Uriel, pour emprunter du matériel, pour poser des questions concernant les buts, l’éthique et les possibilités qu’offrait l’organisation, au bout de quelques nouveaux venus assistés, on s’apercevait que tous avaient toujours les mêmes problèmes et que le rôle d’instructeur se résumait à la répétition des mêmes discours.

Alors il avait tenté de se remettre à son atelier/laboratoire… et avait manqué de mettre le feu à son bureau. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas touché à son matériel qu’il avait oublié les consignes de sécurité les plus élémentaires. Il était urgent qu’il se replonge de manière approfondie dans la création d’ärms et la concoction de potions, mais son échec monumental l’avait quelque peu découragé pour aujourd’hui.
Il aurait également pu tenter d’aller aux terrains d’entraînement, mais là non plus le cœur n’y était pas. La raclée qu’il s’était mangé face à Uriel avait particulièrement refroidi ses ardeurs. Il ne se souvenait même pas des détails, juste que sa supérieure, qui semblait pourtant moins puissante que lui, l’avait dérouillé sans qu’il puisse faire quoi que ce soit, sortant de l’affrontement sans même une égratignure ! Une défaite aussi cuisante était difficile à digérer, surtout lorsque cela faisait déjà des années que l’on était coutumier des combats et que l’on portait un titre aussi honorifique. A cet instant, Ralph s’était rendu compte de quelque chose : son statut d’homme fort qu’il avait réussi à obtenir à une époque auprès de ses amis ne tenait plus. Il avait subit trop d’humiliations pour pouvoir espérer encore s’y rattacher. Lucifel lors du Wargame, Uriel, ce type qui avait surgit alors qu’il allait récupérer Varuna, l’épisode du Grey Gang dans l’autre dimension avait aussi eu son quota d’échecs.

Et après avoir longuement réfléchi sur ce qu’il pouvait faire en attendant son prochain assignement, après avoir fait ce dernier constat à la suite du point qu’il fit alors sur sa situation actuelle, il se dit qu’il n’avait pas été boire un verre dans une taverne depuis bien trop longtemps ! Logique d’alcoolique ? Sans le moindre doute ! Mais les gens ne font pas toujours les décisions les plus emplies de sagesse à vrai dire. Aussi le séraphin utilisa son Andarta pour quitter le QG d’Eden sans rien dire à sa supérieure ; elle enragerait sans doute un peu, mais tant pis !

Et c’est ainsi qu’il se retrouvait dans cette taverne perdue au milieu du continent de Hild, dans un bled dont le nom ne dirait probablement plus rien à personne. A picoler tout seul au comptoir auquel le tenancier et sa fille s’affairaient pour remplir les verres, une prouesse assez particulière par ailleurs puisque chacun semblait occuper pleinement son temps au travail malgré le peu de client que l’on trouvait dans la salle.
Ralph, qui n’avait pas touché à son verre depuis que le gérant l’avait rempli, prit une grande inspiration et l’avala cul sec avant de le reposer sèchement sur le bois du comptoir.

«Tavernier ! Un autre s’il te plait.»

L’homme bourru le regarda quelques instants avant de lui répondre sur un ton sévère.

«Non, t’as assez bu pour aujourd’hui. Si tu veux te faire servir, faudra aller voir ailleurs.»

«Hein ? Depuis quand un tavernier refuse un verre et les deniers échangés pour ? »

«Depuis que le type qui le demande s’est prit une vilaine cuite et a mit le souk dans mon établissement.»

«Pardon ?»

«Pas de chance mon bonhomme, j’oublie jamais un visage ! Y’a cinq mois t’es parti d’ici pour ne jamais rembourser la charpente que t’as foutu en l’air.»

«Gnéh ?»

C’est à cet instant précis que Ralph remarqua les regards noirs qui lui étaient lancés. Il était déjà venu ici ?! Il n’en portait pourtant pas le moindre souvenir ! Il avait vraiment dû boire comme un trou cinq mois auparavant. Etrange, lui qui n’avait pas l’habitude de ruiner les établissements de ce genre, quelqu’un avait vraiment dû l’échauffer ou bien la boisson y était réellement infâme au point de pouvoir être considérée comme une tentative de meurtre. Au vu de ce qu’il venait de boire, il aurait plus penché pour la première possibilité !

Inutile de dire que sa période alcoolisée toucha son terme pour aujourd’hui. Il leva la main à laquelle il portait son Andarta et fila sans mot dire. Encore une chance que personne ne manie les ärms dans la salle à ce moment et ne cherche à l’empêcher de prendre la poudre d’escampette ! Ceci-dit, il n’avait même pas vraiment prit la peine de penser à une destination particulière, aussi Ralph se retrouva-t-il à un endroit auquel il n’avait pas vraiment songé, mais qui était empli de souvenirs pour de nombreuses personnes.
Alors que le monde semblait reprendre forme autour de lui, une gigantesque structure s’imposa à ses yeux : la fameuse arène de Hild, une merveille d’architecture qui avait voulu reprendre le principe des plus grandes salles des fêtes en y rajoutant une immense touche magique pour permettre à un public impitoyable d’admirer les combats les plus sanglants possibles.

«La vache… Je m’étais pas rendu compte à quel point c’était grand la première fois.»

Il resta quelques minutes planté devant le bâtiment, admirant le travail de l’architecte. Ce n’était pas lui qui aurait pu construire une telle splendeur, lui qui s’énervait déjà sur des jeux de construction de gamins…
Mais quelque chose le tira brusquement de sa douce béatitude. L’alcool l’avait quelque peu empêché de le ressentir plus tôt, mais au vu de l’énergie magique qui se dégageait de l’intérieur de l’édifice, quelqu’un s’y battait. Il y avait encore un match ? En cette saison de mort et de désespoir ?
Hésitant quelque peu, le séraphin se décida finalement à faire un pas en avant, puis un deuxième avant d’avancer (selon une magnifique trajectoire sinusoïdale, alcool oblige !) franchement vers les portes de l’arène pour aller voir quelles étaient les deux célébrités. Il n’avait pas le moins du monde envie de prendre part au combat, comme dit plus haut, il n’avait pas l’âme aux prouesses guerrières, mais était juste curieux de voir de qui il s’agissait, surtout que l’un des flux magiques lui était familier.

Après quelques minutes de galère à retrouver le chemin jusqu’aux gradins dans l’arène, chose qui ne fut pas aidée par l’état d’ébriété du personnage, Ralph put enfin s’asseoir sur l’un des bancs destinés aux spectateurs. Le moins que l’on pouvait dire, c’est que les gens n’étaient pas non plus du genre à vouloir admirer le spectacle de la violence et du sang au vu du peu de personnes qui étaient présentes en spectateurs, et c’était un euphémisme ! Est-ce que ces deux gars avaient seulement réservé l’arène de manière officielle ?

Mais alors qu’il se posait cette question, le séraphin vit ses pensées s’arrêter lorsqu’il reconnu l’un des deux combattants. Il s’agissait de Kirua ! Le type qui avait réussi à vaincre Khali lors du dernier tournoi qui s’était tenu ici, mais également un vieil ami de l’époque de la Cross Guard ! Ils avaient tous deux roulé leur bosse ensemble alors qu’ils n’étaient encore que de la bleusaille. Bien rares étaient les survivants de cette époque avec lesquels il pouvait avoir la chance de s’entretenir.
Il n’avait pas trop conscience de la situation dans l’arène en fait, n’ayant pas suivi le combat, mais après avoir reconnu son ami, il s’avança jusqu’à la rambarde qui le séparait du terrain dédié au combat avant de faire ce que tout bon spectateur se doit de faire.

«ALLEZ ! VAS-Y KIKI ! METS-LUI LA MISÈRE!!! TU PEUX LE FAIRE !»