Desert où tout ce ressemble

Agone, perdu au beau milieu du désert, décida, suite aux paroles particulièrements "sages" de sa peluche, de marcher tout droit; après tout, le monde étant rond, il finirait bien par arriver quelque part. Il commença donc sa longue marche sous les étoiles, étoiles qui n'allaient pas vraiment l'aider lui, puisqu'il ne connaissait pas grand chose en astrologie.

En arrivant en haut d'une dune, il put voir une oasis au loin, mais elle semblait déja habité; les habitants des environs étaient-ils hostiles ou hospitaliers? Agone pouvait aussi voir un massif montagneux dans une autre direction, mais c'était là les seuls éléments susceptibles de l'aider ou de le mener autre part que dans ces dunes ardentes.

Aprés une longue marche dans le froid d'une nuit desertique, Agone arriva enfin en vue d'une oasis. Il pouvais aussi voir les premiers signes d'un massif montagneux.
Agone décida de se diriger vers l'oasis où se trouver déja quelque personnes. Il s'enfoncer dans le sable à chaque pas qui le rapprocher de l'oasis. Plus il se rapprocher, plus il entendait des bruits de voix sans toutefois pouvoir comprendre ce que disait les personnes présente.
Une fois arriver au abord de l'oasis, Agone s'avanca vers le centre du lieu où ce trouver des personnes encapuchoné.

"Bonsoir. Je me nome Agone et je souhaite profiter de votre compagnie pour passer la nuit."

Sans attendre la réponse des autres, Agone alla s'assoire auprés du feu de camps et tendit les mains pour les réchauffer.

Agone put se féliciter d'avoir réussi à faire tomber un silence particulièrement lourd en un temps record; il n'avait même pas eu le temps d'ouvrir la bouche pour que tout le monde se taise; les homme encapuchonnés le regardèrent pendant pas mal de temps; apparament, il avait interrompu une petite réunion, et ces personnes ne semblaient pas en être très contentes. L'une d'elle se leva, mais une autre, la plus grande de toutes, leva la main; l'homme se rassit immédiatement. Qui étaient ces personnes? Agone n'en avait aucune idée, mais la première impression qu'il avait d'elles n'était pas particulièrement bonne.

Il entendit un bruit de pas derrière lui, mais avant qu'il ne se retourne, il y eu un puissant flash dans sa tête, suivit d'un bruit à détruire les oreilles d'un sourd. Une migraine s'empara d'Agone et celui ci tomba sur le sable en perdant connaissance.

Quand il se réveilla, il était dans une sorte de prison; on lui avait prit ses ärms, et il était seul. Il pouvait entendre un murmure venant d'en dehors de la salle, ou plutôt plusieurs murmures, comme si on discutait de son sort à côté. Les barreaux étaient rudimentaires, fait uniquement de bois, mais les franchir sans ärms relevait de l'impossible.

La douleur dériere la tête fut télement terrible qu'il en perdit connaissance.
A son réveil, il se retrouver dans une cellule. Le dos de son crane le faisait souffrir horiblement. En passant la main dérriere la tête il put sentir une bosse de la taille d'un oeuf se former. En se regardant plus attentivement, il découvri qu'il n'avait plus ses ÄRMS. Il avait osé lui prendre Minzy.
Il pouvait entendre des voies qui venait de l'extérieur de la piece.

"Où suis-je? Pourquoi m'avez-vous mis ici? Sortez moi de là. Rendez moi MINZI!!"

[Pourquoi mes perso finissent toujour en prison...]

Un autre homme encapuchoné rentra dans la salle et s'avança lentement vers la cellule de Agone; arrivé devant, il resta cinq minutes planté là à ne rien dire et à ne rien faire; il devait regarder l'homme qui était enfermé, mais il était impossible d'en être sur à cause de sa cape qui lui cachait le visage. Au bout d'un moment, il se décida à parler d'une voix pour le moins étrange; elle n'était pas humaine, mais cela ne l'empêchait pas d'être particulièrement glaciale.

"Qui es tu? Qui t'envois? Comment connais tu cet endroit?"

Ce furent les seuls mots qui sortirent de sa bouche cachée.

Agone s'époumonner pour qu'on lui rende Minzy, lorsqu'enfin un homme arriva. Agone se jeta sur les barreau de sa cellule pour agripper l'homme, mais celui-ci était hors de portée. Il le regarda pendant qu'Agone lui réclammer Minzy, mais il ne dit rien.

Citation :

"Qui es tu? Qui t'envois? Comment connais tu cet endroit?"

Agone était interloqué par la réaction de l'homme qui l'ignoré presque.

"Je me nomme Agone. Personne ne m'envoie et je suis arriver ici complétemnt par hasard. Je m'était perdu dans ce desert et en arrivant autour du feu de camps, je me suis fait emprisonner. J'éxige que l'on me rende Minzy."

Agone commencer à être à cour de patience.

(Excuse moi du retard que j'ais eu pour te répondre.)

La personne resta impassible devant la réaction plutôt violente de Agone. Elle hocha la tête avant de répondre à l'homme qui avait perdu sa peluche:

"Tssss... Navré, mais tu étais seul quand nous t'avons "récupéré". Et n'essaies pas de jouer la comédie avec moi, on n'attérit pas par hasard dans notre camp dans ce vaste désert; mais si tu ne veux pas parler, nous devrons t'y forcer. A très bientôt!"

L'individu avait prit un ton sadique dans ses derniers mots, et Agone devina alors qu'il n'avait pas intérêt à rester ici. Il devait partir, mais comment? Et puis, il ne savait absolument pas où se trouvait Minzy, et il était hors de question de partir sans elle (je me trompe?^^).

Mais il devait bien y avoir un moyen.

Alors que Agone commençait à s'attaquer aux barreaux fais de bois et non pas de métal, il pouvait entendre les voix au dehors plus distinctement que tout à l'heure, et put entendre des paroles assez peu rassurantes:

"Tsssssss... Le prisonnier a refusé de parler tu sais? Mais je ne sais pas si ça va durer."

"De toute façon, ils finissent tous par parler! Habituellement il suffit de leur couper quelque chose pour qu'ils finissent en larmes et qu'ils balancent tout le paquet!"

Ceux qui devaient être les gardes continuèrent à parler ainsi pendant que Agone s'acharnait comme une bête furieuse pour essayer de sortir de sa cage. Il fini par faire largement craquer les barreaux qui allaient sans doute céder au prochain coup, mais le bruit avait réveillé l'attention des gardes.

"T'as entendu?!"

"Oui, je crois qu'on devrait aller voir!"

Il put entendre des bruits de pas, puis un bruit de poignée, avant de voir la porte s'ouvrir. Il ne lui restait plus que quelques instants pour faire quelque chose.

Agone brisa les barreaux d'un grand coup de coude, puis parti vers la porte de la prison, sans prêter attention à ceux qui avaient aussi été enfermés dans cette salle, chose qui n'était, il fallait le dire, pour le moment pas franchement intéressante. Il hurla en courrant à pleine vitesse vers la porte, attendant que les gardes de la prison l'ouvrent pour la franchir et ainsi bénéficier de l'effet de surprise. Cependant, lorsque les gardes ouvrirent cette porte, il étaient collés l'un à l'autre, ne laissant pas l'espace nécessaire à Agone qui leur rentra dedans. Ils s'écartèrent un peu par surprise, mais la course de Agone fut freinée, et ils hurlèrent à l'unisson:

"TWIN CHAIN!"

Deux chaines apparurent, une extrémité de chacune dans la main d'un des gardes, et bloquèrent le passage à Agone qui fut stoppé et rapidement renfermé en cellule après s'être fait magistralement tabassé. Les gardes devaient être soit habitués au manque de solidité des barreaux, soit ils avaient de l'expérience derrière eux.

Quoi qu'il en fut, Agone fut de nouveau en cellule, mais pas seul cette fois ci. Il se retrouva dans la cellule d'une petite fille qui restait recroquevillée dans l'ombre d'un coin, sans faire le moindre bruit.

La jeune fille semblait être effrayée par ce type; il fallait dire que la vision d'un homme qui se disputait avec lui même était plutôt effrayante en règle générale! Néammoins, au bout d'une minute, elle releva timidement une paire d'yeux blancs vers Agone. Elle allait dire quelque chose quand elle rebaissa la tête. Il se passa un moment de silence.

Puis, au bout d'une minute, elle releva brutalement la tête avec un air totalement différent de celui de tout à l'heure; une certaine expression partagée entre la haine et la colère s'était dessinée sur son visage; elle se mit à lui crier dessus.

"MAMAN ELLE M'A DIT DE PAS PARLER AUX INCONNUS!"

Puis elle rebaissa la tête et se tût à nouveau. Visiblement Agone était tombé dans la cellule d'une autre personne à problèmes psychologiques.

Il se passa bien cinq minutes de silence glacial; elle restait crispée sur elle même; à plusieurs reprises, elle releva la tête comme pour dire quelque chose, mais finallement elle rebaissait les yeux pour se cacher le visage derrière ses genoux. Elle commença à trembler, Agone put constater une grande vague de magie la traverser, puis plus rien, aussi soudainement que l'arrivée de cette magie. Au bout d'un moment, elle releva finallement la tête pour le regarder d'un air timide.

"Excusez moi... Vous auriez l'heure? Et puis aussi à manger s'il vous plait?"

Le ton employé était totalement différent de celui utilisé tout à l'heure. Apparament, Agone était tombé avec une personne souffrant également d'une ou de plusieurs tares génétiques. Soudain, elle sursauta, puis regarda autour d'elle avant de reprendre:

"Et vous savez où on est aussi?"

Tout à coup, sans crier garde, la fille se remit à crier alors que Agone regardait dehors en demandant aux gardes de leur apporter à manger.

"LE REPAS EST DANS UN QUART D'HEURE! ALORS VOUS FAITES COMME TOUT LE MONDE, VOUS ATTENDEZ!"

Mais lorsque Agone se retourna, elle s'était déja recroquevillée sur elle même et ne faisait plus le moindre bruit. C'est alors que Agone entendit la porte au bout de la prison s'ouvrir, puis des bruits de pas; c'étaient les gardes qui semblaient en avoir assez de ce raffût. L'un d'eux alla aux barreaux et attrapa Agone par le col.

"Ici tu vois, il y a d'autres détenus, et surtout des gardes qui aiment avoir la paix, alors vous allez arrêter de faire tout ce boucan, c'est comprit?!"

Agone put remarquer à sa ceinture un petit objet brillant, une clé! Peut être celle de la cellule.

Agone attrapa également le garde par le col et l'approcha des barreaux.

"Ici tu vois, il y a des détenus qui ont fain, et surtout des gardes qui mangent à leur fain sans ce soucier des autres, alors vous allez arrêter de faire comme si de rien n'était, c'est comprit?!"

Il tenta de profiter de ce momment pour secouer le garde et ainsi prendre la dlef avec son autre main sans que ce mouvement soit percu par le garde qui était secouer.

"De plus ce n'est pas moi mais la fillette qui hurle. Alors ne me secouer pas comme un prunneau!!!"

Le garde ne tarda pas à réagir à la violence (justifiée, il faut bien l'admettre) de Agone; il sorti son cimeterre de son fourreau et envoya un grand coup de la garde au détenu (-5PV) qui fut éjecté au sol, mais avec la clé. Il eu d'ailleurs de la chance qu'aucun des deux gardes ne l'aient constatés; il repartirent tous les deux en soupirants.

"Et bien ce sera demi portion pour votre cellules! Et à l'avenir, tâchez de ne plus jouer aux petits malins!"

Il repartirent au bout du couloir pour aller au poste de garde, et refermèrent la porte derrière eux. La fille n'avait pas bougé depuis tout à l'heure.

Agone était de nouveau dans la rangé; il n'était pas vraiment fait pour être enfermé! Mais à peine fut il sorti qu'il entendit plusieurs cris venants du poste de garde; des cris de douleurs? De peur? Non, plutôt des exclamations, ils avaient dû s'appercevoir qu'on leur avait subtilisé leur clé! Et ils ne patientèrent pas pour aller la reprendre! La porte commençait à s'ouvrir encore. Qu'est ce que Agone allait bien pouvoir faire? Sans doute allait il se retrouver encore dans une cellule, mais avec plus de difficultés encore pour s'échapper!

"Qu'est ce qui se passe?"

La fillette venait de sortir timidement la tête de la cellule pour voir d'où venait ce vacarne effroyable et fut surprise de voir les gardes arriver à toute vitesse dans la salle. Elle les regarda, puis regarda Agone et retourna dans sa cellule, de peur d'avoir à subir les âffres que ces gardes pouvaient apporter quand ils étaient de mauvaise humeur.

Agone, lui, était à nouveau bloqué dans cette prison; ces deux gardes étaient plus compétents qu'il ne l'imaginait sans doute au départ, il allait falloir s'en débarasser pour pouvoir continuer l'évasion!

(Bon, fais moi un beau poste rp, je te laisse inventer un moyen original pour battre les gardes, mais si jamais tu me fais un poste foireux, je te réserve un petit quelque chose pour la suite de ta quête!)

La ruse semblait tellement grosse... Pourtant... Elle marcha! Apparament, Agone avait bien fait de quitter la cellule car les gardes ne parurent absolument pas surpris quand ils entendirent le discours du jeune homme et allèrent sans se faire prier vers la cellule en sortant leurs armes. Mais ce fut avec surprise qu'ils retrouvèrent la gamine dans son état habituel, recroquevillée dans son coin; ils se rendirent compte trop tard de ce qui se passait et se retrouvèrent rapidement enfermés avec la gamine. L'un d'entre eux alla aux barreaux et commença à hurler:

"Rouvre cette grille tout de suite! Attends que je sorte de là! Tu ne perds rien pour attendre!"

Mais Agone était déja loin; il était déja au poste de garde. Le seul problème était qu'il n'y avait aucune de ses affaires à l'intérieur. Il était dans une petite salle avec une table et deux chaises, plus un bureau sur lequel se trouvait plusieurs rapports sur certains prisonniers rapidements gribouillés. Il y avait un ratelier à arme qui disposait de quelques cimeterres et de quelques lances, et la porte de sortie... Qui était par contre vérouillée! Agone vit un papier accroché juste à côté sur lequel était marqué:

Citation :

CONSIGNES DE SECURITE:
Suite aux nombreux incidents au niveau de la prison, nous avons décidé d'appliquer ces nouvelles consignes de sécurité:
-Il y aura désormais obligatoirement deux gardes en service, et aucune autre règle ne pourra réduire ce nombre. Quiquonque ne suivra pas cette directive se verra puni de la peine de mort.
-Suite à quelques incidents avec les aventuriers shamans, tous les prisonniers devront être dépouillés de tout objet suspect, même si il ne semble pas représenter une menace, en plus de ses ärms, de ses armes, et de ses éventuels outils, quels qu'ils soient.
-La porte ne s'ouvrira désormais qu'avec un mot de passe qui changera toutes les semaines, les gardes concernés seront avertis du changement de mot de passe.
-Aucun contact avec une autre personne que le chef, le sous chef, ou bien la relève ne sera autorisé, sauf cas exceptionnels.

C'était tout. Il y avait sinon un tas de papier sur la table qui semblait contenir de tout et de rien. La porte, qui semblait être faite dans un matériaux inconnu était la seule à bloquer le passage.